Notre selection des meilleures montres de luxe | |
A.LANGE & SÖHNE (LS) Pays : Allemagne (Glashütte) Partenariat CBIZ06 : Non | |
Tradition avec deux tentatives Après la réunification de l'Allemagne, la GUB est devenue la « Glashütter Uhrenbetrieb GmbH » en 1993, telle que nous la connaissons aujourd'hui. Le 7 décembre 1990, l'arrière-petit-fils Walter Lange fonde la nouvelle manufacture horlogère « Lange Uhren GmbH » à Glashütte. Il acquiert les droits du nom A. Lange & Söhne et redonne vie à l'entreprise familiale. Une fois de plus, l'entreprise a dû faire face à des problèmes de démarrage considérables, car W. Lange n'avait littéralement rien. Pas de montre en stock, pas de personnel et pas de locaux de production. Heureusement, les chemins de Walter Lange et Günter Blümlein se sont croisés : L'homme d'affaires était alors responsable des marques horlogères IWC et Jaeger-LeCoultre. Blümlein a reconnu le potentiel, connaissait la tradition de l'entreprise. Grâce à son réseau, 48 nouveaux employés de A. Lange & Söhne se sont familiarisés, dans les locaux d'IWC, avec les méthodes de production modernes. L'entreprise familiale était de nouveau sur les rails. | |
AUDEMARS PIGUET (AP) Pays : Suisse Partenariat CBIZ06 : Non | |
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BLANCPAIN (BP) Pays : Suisse Partenariat CBIZ06 : Non | |
Lors de la crise horlogère des années 1970, l'entreprise est entre les mains de la SSIH. Elle est finalement rachetée et relancée en 1983 par Jean-Claude Biver12 et Jacques Piguet. Ils en feront une marque de luxe, cultivant l'esprit de la tradition horlogère. Le succès venu, ils la revendront au Swatch Group. La manufacture de la marque est située dans le village du Brassus, dans la vallée de Joux, sur le lieu d'origine de la marque, ainsi qu'à Paudex. En 2007, son patron est Marc A. Hayek, petit-fils de Nicolas Hayek. En août 2009, le premier ministre russe Vladimir Poutine offre une Blancpain à un modeste berger devant les flashs des journalistes, un modèle Léman Aqualung Grande Date estimé à dix mille euros. Du coup, le mois suivant, un ouvrier interpelle Poutine, en visite dans une usine, et lui demande sa nouvelle Blancpain qu'il a au poignet. Il ne refuse pas et lui donne13. En 2010, pour célébrer les 275 ans de Blancpain, l'enseigne sort une nouvelle collection de montres, la collection Villeret Les boîtiers de la marque sont toujours ronds. Dans les années 1990, le slogan de la marque (aujourd'hui abandonné, mais toujours d'actualité) proclamait : « Depuis 1735, il n'y a pas eu de montre Blancpain à quartz. Et il n'y en aura jamais. » Sous la direction de Jean-Claude Biver, la marque a axé sa communication sur un respect intangible de la tradition horlogère et valorisé son savoir-faire technique : en particulier, avec la série des « Six Pièces Maîtresses de l'Art Horloger ». À savoir : - l'Ultraplate Actuellement, la série « Apothéosis temporis » a quelque peu remplacée celle des « six pièces maîtresses », en y ajoutant encore deux complications : second fuseau horaire et « équation marchante pure à quantième perpétuel ». La fabrication des montres est presque 100% suisse, seuls les bracelets en cuir et les écrins sont produits à l'international | |
GIRARD PERREGAUX (GP) Pays : Suisse (La Chaux de Fonds) Partenariat CBIZ06 : Non | |
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ABRAHAM LOUIS BREGUET (LB) Pays : Suisse (Vallée de Joux) Partenariat CBIZ06 : Non | |
À l'heure actuelle, Montre Breguet SA fait partie du groupe horloger suisse Swatch Group. Depuis 1976, ses usines ont été délocalisées à L'Abbaye et à L'Orient, dans la vallée de Joux, en Suisse. Le tourbillon a été inventé par Abraham-Louis Breguet. | |
IWC (IW) Pays : Suisse (Schaffhausen) Partenariat CBIZ06 : Non | |
La manufacture suisse fait partie des pionniers dans l’utilisation de nouveaux matériaux, en intégrant notamment le titane et la céramique dans ses créations. En recherche constante d’innovation et d’exception, la manufacture IWC est également réputée pour avoir créé la première montre numérique mécanique.
IWC, un acteur aux valeurs authentiques et engagées. Grâce à de multiples prouesses techniques impliquant les plus grandes complications horlogères, la marque suisse IWC est à l’origine de la création de nombreux chefs d’œuvre et est reconnue comme l’une des principales manufactures de haute horlogerie aux quatre coins du globe. Sa passion pour les défis les plus osés permet également à IWC de se positionnait comme un acteur pleinement engagé dans les actions humanitaires et environnementales. Des collections de montres uniques aux thématiques emblématiques Les collections les plus emblématiques de la manufacture suisse sont sans conteste les garde-temps haut de gamme Portugaise, Portofino, Aquatimer, Montre d’Aviateur, Ingénieur ou encore Da Vinci. Un autre modèle IWC particulièrement reconnu est sans nul doute la montre Volvo Ocean Race, très prisée des professionnels du monde aquatique. Pour acquérir une montre IWC, il faut compter un tarif moyen de 5 000 euros pour les modèles traditionnels Portofino ou Montre d’Aviateur. Les modèles plus hauts de gamme peuvent avoisiner les 20 000 euros en fonction des matériaux employés. | |
JAEGER LE COULTRE (JLC) Pays : Suisse (Vallée de Joux) Partenariat CBIZ06 : Non | |
VÉRITABLE MANUFACTURE Riche de près de 200 ans d’histoire, Jaeger-LeCoultre s’affirme aujourd’hui comme un pionnier de l’industrie horlogère grâce à son innovation et créativité constante repoussant les limites de l’horlogerie. Réunissant 180 savoir-faire sous un même toit, c’est l’une des seules véritables Manufactures ayant la capacité de produire toutes ses montres dans leur intégralité, de la conception à la réalisation. | |
HUBLOT (HB) Partenariat CBIZ06 : Non | |
C’est le créateur de Hublot, l’Italien Carlo Crocco, qui est à l’origine de cette “Success story” comme on les aime. Il a d’abord développé une montre unique, qu’il a appelé Hublot en référence à la forme de son cadran épais serti de vis apparentes qui faisait penser à une fenêtre de bateau. Le risque qu’il a pris alors, et celui qui l’a fait connaître dans le monde entier, c’est l’introduction du concept de “fusion”. Il a voulu prouver que les standards des montres de luxe de l’époque pouvaient être bousculés, et il a décidé de proposer un boîtier et une montre en métaux précieux, montée sur un bracelet en caoutchouc simpliste. Le bracelet en caoutchouc noir mat au style minimaliste peut paraître simple, mais il est en réalité le fruit de presque trois ans de recherches menées par Carlo Crocco, qui lui auraient coûté plus d’un million de dollars. Le résultat est un bracelet élégant, léger, ultra résistant, agréable au toucher, souple, et qui s’adapte à tous les poignets. Carlo est même allé plus loin en jouant sur l’aspect olfactif : ses bracelets en caoutchouc étaient parfumés d’une douce et subtile odeur de vanille qui couvrait à merveille l’odeur du caoutchouc. Ce nouveau style en dehors des clous du monde de la montre de luxe va tout de suite faire parler de la marque. De nombreux leaders d’opinion de la jet-set et des sphères gravitants autour des élites seront rapidement séduits par cette fusion, ce qui offrira à Carlo et à son produit une publicité internationale forte. Le bracelet en caoutchouc sur les montres de luxe se développera donc et sera adopté par d’autres marques dans les années 90′, pour devenir un standard absolu pour les montres sportives de luxe encore aujourd’hui. En 2004, Carlo Crocco décide de donner une nouvelle jeunesse à Hublot, et cette nouvelle jeunesse s’appelle Jean-Claude Biver. Jean-Claude est fort d’une expérience plus qu’impressionnante dans le monde de la haute horlogerie. Il a en effet travaillé pendant de nombreuses années dans l’industrie, et a fait ses preuves en occupant de hauts postes chez de multiples marques au prestige international, comme Audemars Piguet, Omega, Blancpain ou encore Swatch. Il est donc engagé en tant que CEO de Hublot, presque au même moment que Ricardo Guadalupe, un individu tout aussi dynamique et talentueux dans son domaine, qui agira en tant que “Product & Marketing Consultant”. Ensemble, les deux passionnés vont relancer le concept appelé “Art of Fusion“, et remettre la marque dans une dynamique d’expansion et de succès grandissant. Les chronographes Hublot sont retouchés et améliorés, et des lancements de pièces originales et ultra-efficaces sont faits pour annoncer le retour de la marque sur le devant de la scène. Celui qui a fait le plus de bruit, et qui a clairement propulsé Hublot en haut de l’affiche, c’est le lancement du chronographe Big Bang au Baselworld 2005. Ce fut un succès instantané, et les commandes ont atteint des records en un rien de temps. | |
OMEGA (OM) Partenariat CBIZ06 : Non | |
En 1879, les deux fils du fondateur, Louis-Paul et César Brandt, décident de se lancer dans la fabrication industrielle « à l'américaine ». En raison de la pénurie de main-d'œuvre qualifiée et de surfaces disponibles et de l'opposition de leurs concurrents, La Chaux-de-Fonds ne leur paraît pas convenir. Après avoir envisagé de s'implanter dans plusieurs villages du Jura, ils s'installent définitivement à Bienne dans le canton de Berne, mieux située sur le plan logistique (transports, main-d'œuvre, fourniture d'énergie, etc.). Dès janvier 1880, ils lancent leur premier calibre fabriqué par des procédés mécaniques. Établie à Bienne, dans le canton de Berne, depuis 1880, par les frères Brandt, elle rejoint le groupe Swatch en 1998. Avec un chiffre d’affaires de plus de 2,3 milliards de francs en 2019, Omega en est devenue la première marque du groupe devant Longines et Tissot. Par son ancienneté, sa longévité, sa visibilité (chronométrage sportif, conquête spatiale) et sa taille, Omega est l'une des sociétés-phares de l'industrie horlogère suisse. Elle a en effet été la pionnière en matière d'industrialisation de la production (mécanisation, production de masse). Outre l'excellence de ses produits, reconnue par d'innombrables prix internationaux, elle a aussi été l'un des lieux de la lutte ouvrière et de la progressive amélioration des conditions de travail. Après les tourments et les errements provoqués par l'irruption de la technologie liée au quartz et la concurrence des productions japonaises des années 1970, la marque a repris sa stabilité au sein du Swatch Group. Omega a développé des solutions techniques originales (échappement coaxial, calibres maison) et le design a été modernisé. Située aujourd'hui dans le segment « prestige » du marché, certaines de ses productions visent clairement à se positionner dans le segment « luxe »5. Depuis quelques années, la firme développe également un secteur joaillerie. En plus de la région biennoise, Omega a exploité des succursales ou des ateliers à Cortébert, Genève, Köniz, Lausanne, Le Sentier, Les Genevez et Villeret. La firme est active dans le chronométrage sportif depuis 1909, le traitement et l'affichage des données. Elle a assumé cette tâche la première fois lors des Jeux olympiques d'été de 1932 à Los Angeles et, plus récemment, lors des Jeux olympiques de Turin en 2006, de Pékin en 2008 et de Vancouver en 2010. La marque signe avec les Jeux olympiques d'été de 2016 sa 27e participation en tant que chronométreur officiel. | |
PATEK PHILIPPE (PP) Partenariat CBIZ06 : Non | |
Très attachée à fournir des produits de qualité, Patek Philippe a recouru pendant de nombreuses années à la certification Poinçon de Genève. En 2009, elle y renonce et crée son propre label, le Poinçon Patek Philippe, qui s'applique à toutes les opérations que subit une montre de sa fabrication jusqu'à sa vente. Depuis la seconde moitié des années 2000, Patek Philippe domine également le marché des ventes aux enchères. A noter enfin le Musée Patek Philippe au cœur de Genève, l'une des plus riches collections privées au monde. Basée à Genève, mais avec des unités de production réparties dans tout l'arc jurassien, Patek Philippe est réputée pour sa maîtrise des complications horlogères, les montres à sonnerie en particulier. Tout en perpétuant la tradition du savoir-faire horloger, la marque intègre également les nouvelles technologies comme celle du silicium. En 2011, Patek Philippe s'est ainsi associée à la création d'une chaire de recherche en micro et nanotechnologies à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. | |
RICHARD MILLE (RM) Partenariat CBIZ06 : Non | |
Depuis sa création en 2001, la marque de montres de luxe suisses Richard Mille a parcouru du chemin pour devenir une maison reconnue par les amoureux de Haute Horlogerie ! Les montres Richard Mille caractérisées pour nombre d’entre elles par un boîtier tonneau ergonomique signature ne peuvent passer inaperçues. En 20 ans, ce sont plus de 80 modèles en quantité ultra limitées qui ont vu le jour, des montres pour hommes et femmes affichées à des prix supérieurs à 100 000 euros. Utilisant des matériaux innovants, la marque Richard Mille s’est fait un nom dès son premier modèle tourbillon RM 001 en 2001 et a continué au fil des années à se faire remarquer grâce à ses montres Nadal, Prost, Skull, Saphir, Diamant, Felipe Massa, Kongo, MacLaren ou encore Pharell Williams. L’ultra luxe horloger. Pour tenter de justifier un tel tarif, le cahier des charges de chaque modèle est limpide : aucune limite pour les coûts de fabrication. Concernant la communication, il faut des chiffres clés et pour ce qui est du mouvement. Mieux vaut quelque chose de complètement novateur au plan technique, mais (presque) toujours avec un tourbillon. L’ensemble doit être immédiatement reconnaissable. Facile à dire, mais réaliser des prouesses techniques demande quelque savoir-faire et une bonne dose d’innovation.
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ROLEX (RX) Partenariat CBIZ06 : Non | |
La célèbre marque Rolex a été fondée en 1908 par Hans Wilsdorf . Cette société Suisse est aujourd’hui la figure la plus emblématique de l’horlogerie de luxe et de haute précision. Rolex est le fruit de la collaboration entre H. Wildorf et Alfred Davis, son beau-frère. Ils s’installent tous deux à Londres en 1905 et fondent Wilsdorf & Davis, une société produisant en Suisse des montres de poche. Wilsdorf, précurseur, cherche sans cesse à améliorer la qualité de ses produits en produisant des montres de luxe et va à contre-courant de la mode de l’époque en cherchant la miniaturisation. Il trouve alors un fournisseur de pièces à la hauteur de ses exigences : Aegler. En 1906, Wilsdorf & Davis dépose leur brevet sur le bracelet extensible dont sont équipées la majorité de leurs montres. Deux ans plus tard, la marque Rolex est née et remplacera Wilsdorf & Davis progressivement. Rolex, un nom qui soulève de nombreux débats. Officiellement, ce nom a été choisi pour la facilité de sa prononciation dans tous les langages et sa taille restreinte, idéale pour s’intégrer facilement dans un cadran de montre. D’autres sources défendent que Rolex est la contraction de “Horlogerie Exquise”, “Horlogerie Extrême” ou “Horlogerie d’Excellence. Quoiqu’il en soit, tous ces termes s’appliquent à la marque. En 1910, Rolex fait certifier ses mouvements par la Société suisse de chronométrie, gage de qualité indéniable. 4 ans plus tard, un institut anglais certifie également Rolex. UNE ROLEX OYSTER PERPETUAL DATEJUST L’année 1926 marquera une étape décisive avec la création du modèle Oyster. Le nom Oyster signifie “huître” en anglais. Il s’agit tout simplement de la première montre étanche du monde. Pour promouvoir l’Oyster et prouver son efficacité, les vitrines des bijouteries sont équipés d’aquarium dans lesquels baignent des montres. Plus loin, en 1927, la nageuse britannique Mercedes Gleitze traverse la Manche avec une Oyster au poignet. La marque surfe alors sur l’exploit en étant le premier annonceur du milieu à publier une publicité en première page du Daily Mail qui plus est. La montre Rolex Prince sort en 1928. Son cadran double lui fera connaître un succès commercial. En 1931, Rolex se dinstingue une fois de plus en créant le Rotor. Cette nouvelle innovation va permettre à Rolex de créer le premier remontage automatique. Le Rotor est un demi-cercle de métal entraîné par les mouvements de poignets et qui permet de remonter la montre automatiquement. Cet ingénieux système va faire école et est encore aujourd’hui utilisé dans la fabrication des montres automatiques modernes. LE ROTOR PERPETUAL, ROLEX INVENTE LE REMONTAGE AUTOMATIQUE. En 1945, l’Oyster est la première montre à indiquer le quantième (c’est à dire le jour du mois). Cette version de la Oyster est baptisée Oyster Perpetual Datejust. En 1953, le modèle Oyster Perpetual Submariner peut se vanter de résister à une profondeur de 100 m. Deux ans plus tard, le modèle Oyster Perpetual GMT Master permet de lire l’heure de deux fuseaux horaires différents. 1956, la date et le jour de la semaine sont affichés en toutes lettres sur l’Oyster Perpetual Day Date. En 1959, Rolex sponsorise les 24 Hours of Daytona, une course automobile se déroulant à Daytona Beach. Rolex fait son entrée dans le sponsoring sportif. Nouveau record en 1960 : le professeur Jacques Piccard atteint 10 910 mètres de profondeur dans la fosse des Mariannes avec une Rolex Deep Special attachée à son engin sous-marin. | |
VACHERON CONSTANTIN (VC) Partenariat CBIZ06 : Non | |
SLOGAN « Faire mieux si possible, ce qui est toujours possible » - F. Constantin (1819) |