Investir

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Les meilleurs placements à privilégier en 2022 sont l’immobilier et l’assurance « nouvelle génération », les cryptos monnaies.

Attention investir comporte un risque de perte !!!

Voici les investissements en poupe qui sont proposés par nos partenaires :

  • MARCHAND DE BIENS
    Par définition, un marchand de biens est un entrepreneur effectuant des transactions immobilières, foncières ou de fonds de commerce. Sa principale activité consiste à acheter, valoriser (rénover ou améliorer), puis revendre des biens. Il se distingue des intermédiaires en vendant des biens qui lui appartiennent. L’accès à la profession est libre sans cartes professionnelles ou diplômes requis. S’agissant d’une activité commerciale, le marchand de biens doit être immatriculé au RCS et la forme juridique SCI est exclue.
  • ACTION EN BOURSE
    Investir en Bourse, c’est acheter des actions de sociétés cotées, c’est-à-dire acquérir des parts de propriété dans des entreprises. De fait, chaque action représente une part du capital de la société. La part qu’un associé détient dans la société est proportionnelle au nombre d’actions de cette société qu’il possède. Quand vous achetez une action, vous devenez ce que l’on appelle un actionnaire, ce qui signifie ni plus ni moins que vous devenez un associé de l’entreprise.

     

    Quels produits financiers pour investir en Bourse ?
    Et concrètement comment ça se passe ? Vous vous demandez comment investir en Bourse pour les nuls ? Via quels supports ? Comment investir selon son niveau de connaissance ? Il existe plusieurs moyens d’investir en Bourse, en se positionnant sur des instruments financiers variés et sur des enveloppes différentes. L’investisseur, pour effectuer le meilleur placement possible, devra tenir compte de ses objectifs, ses compétences et de son horizon de placement.

    Acheter des actions en Bourse en direct.
    Pour investir en Bourse, et c’est d’ailleurs normalement la première chose qui vous vient à l’esprit, il est possible d’acheter des actions en direct. Cette stratégie qui concerne les investissements moyen long terme peut être mise en place de différentes façons.

    Actions au porteur ou actions au nominatif : que choisir ?
    De fait, un actionnaire peut détenir ses actions en direct au nominatif pur, ce qui lui permet d’économiser sur les éventuels frais de garde, mais aussi d’entretenir une relation privilégiée avec l’entreprise dont il détient des actions : invitations personnelles aux assemblées générales, réception dans sa boîte aux lettres des lettres aux actionnaires et des rapports annuels, éventuellement droit de vote double ou dividendes majorés, etc.

    Cependant, la gestion des titres étant confiée à l’intermédiaire financier de la société cotée, l’actionnaire est obligé d’ouvrir un compte auprès de chaque société cotée dont il détient des actions, ce qui rend impossible le rassemblement de l’ensemble de ses titres dans un PEA ou un compte titres. Il peut toutefois pour éviter cet inconvénient avoir recours au nominatif administré. Mais ce statut, comme celui du nominatif pur, complexifie grandement la déclaration des revenus issus de ses titres.

    Un actionnaire peut également détenir ses titres au porteur, situation la plus commune en France. L’actionnaire reste alors anonyme pour l’entreprise. Seul l’intermédiaire financier connaît l’identité du détenteur, qui peut loger ses titres dans un PEA ou un compte titres ordinaire. Le fait de pouvoir rassembler tous ses titres dans une même enveloppe et le fait de pouvoir remplir un seul imprimé fiscal pour l’ensemble de ses titres toutes sociétés confondues, contre un imprimé fiscal unique par ligne de société cotée en cas de détention au nominatif, constituent des avantages non négligeables pour l’actionnaire.

    Investir en Bourse avec des OPCVM.
    De fait, on peut se positionner en Bourse sur le long terme en achetant des fonds ou OPCVM (Placement Collectif en Valeurs Mobilières). Ces enveloppes, constituées d’un grand nombre de titres et qui peuvent d’ailleurs regrouper plusieurs classes d’actifs (actions mais aussi obligations par exemple) permettent de facilement diversifier ses avoirs. En outre, un gérant s’occupe de la gestion des titres et de la gestion du portefeuille (il sélectionne les titres et détermine quel est le meilleur moment pour les acheter et pour les vendre). Il vous facture en contrepartie des frais de gestion.

    Se positionner en Bourse sur des indices avec les ETF.
    Autre possibilité : avoir recours aux fonds indiciels et thématiques, et plus particulièrement aux trackers ou ETF, qui répliquent la performance d’un indice (indice boursier comme le CAC 40 ou le Nasdaq par exemple) ou bien un indice sectoriel (secteur bancaire, secteur automobile, etc.) ou encore un indice géographique (UE, Japon, US, etc.). Notez que les frais de gestion des ETF, étant donné qu’il s’agit d’une gestion passive, sont bien plus faibles que ceux des fonds d’investissement classiques.

    Investir sur les marchés financiers avec les produits dérivés.
    Autre option à envisager : l’investissement dans des produits dérivés, comportant le plus souvent un effet de levier, permettant de spéculer sur un titre à court terme. Il s’agira alors davantage de trading que d’investissement. Les produits dérivés sont toutefois à réserver aux investisseurs les plus avertis, à même de comprendre le fonctionnement complexe de ces produits faisant souvent entrer en compte la valeur temps, en plus de la variation du cours du sous-jacent, auquel s’applique un effet de levier. Mais ces produits dérivés ne sont pas seulement utiles pour le trading court terme. Ils peuvent aussi constituer des outils de couverture de portefeuille.

    Quelles enveloppes pour investir en Bourse ?

    Le compte titres ordinaire (CTO) pour acheter tous les titres.
    Le compte titres est l’enveloppe idéale pour investir sur tous les marchés financiers, y compris et surtout les plus lointains, ou bien pour mettre en place des stratégies d’investissement sophistiquées en ayant recours au SRD (Système de Règlement Différé) ou bien à des produits dérivés. Il ne comporte pas de plafond ni donc de restrictions. La liberté de l’investisseur est totale. En contrepartie, cette enveloppe ne permet pas de profiter d’avantages fiscaux et vous serez taxés sur vos gains à la flat tax (30 %) ou au barème de l’impôt sur le revenu + 17,2 % de prélèvements sociaux si cela est plus avantageux pour vous.

    Le PEA pour bénéficier des avantages fiscaux.
    Le PEA, contrairement au compte-titres, obéit à des contraintes strictes. Ainsi, il existe par exemple un plafond de versement fixé à 150 000 euros et les titres éligibles à cette enveloppe sont plus restreints car limités aux sociétés dont le siège social est situé en Union européenne. Cependant, il est possible de contourner au moins en partie cette disposition en investissant dans des OPCVM et notamment des ETF.

    En contrepartie, le PEA ou plan d’épargne en action est une enveloppe fiscalement très avantageuse pour l’actionnaire qui bénéficie, au-delà de 5 ans de détention, d’une exonération de l’impôt de plus-value.

    Le PEA PME pour investir dans des PME.
    Le PEA PME est un plan épargne en actions permettant de bénéficier des mêmes avantages fiscaux que le PEA et sur lequel peuvent être logés des investissements dans des PME dont le siège social est situé en Union Européenne. À noter : son plafond, s’il est détenu seul, est fixé à 75 000 euros. En revanche, si l’investisseur détient un PEA et un PEA-PME, le plafond cumulé de ces 2 enveloppes est fixé à 225 000 € et les sommes versées sur le PEA PME pourront alors excéder les 75 000 euros

    Souscrire à un PEA jeunes en attendant d’avoir quitté le foyer fiscal des parents.
    Le PEA jeunes, destiné aux 18-25 rattachés au foyer fiscal de leurs parents, permet de bénéficier de tous les avantages du PEA dès la majorité et de se familiariser ainsi très tôt avec les marchés actions. Son plafond est fixé à 20 000 euros et est indépendant des éventuels comptes PEA détenus par les parents.

    Investir dans les actions via les unités de compte de l’assurance vie.
    Sachez également qu’un investisseur peut aussi se positionner sur le marché actions en détenant des actions en direct, mais aussi des OPCVM, des ETF, des produits structurés, etc.  via les unités de compte (UC) de son contrat d’assurance vie.

  • ASSURANCE VIE
    En tout premier lieu, il est primordial de se souvenir qu’un contrat d’assurance-vie est avant tout une enveloppe d’optimisation fiscale. Cela veut dire que votre contrat n’est ABSOLUMENT pas figé et que votre argent n’est donc en aucun cas bloqué. Il faut donc se sortir de la tête l’idée d’une durée minimum d’engagement et se méfier des professionnels qui vous diraient le contraire. Ce sont les éléments en fin de compte les plus mal connus sur le contrat d’assurance-vie, et dont beaucoup de conseillers se servent pour décourager les investisseurs de choisir ce type de support. En effet, un rachat sur votre contrat d’assurance-vie ne peut avoir en fait que deux contraintes :

     

    • Subir la fiscalité : impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Pour rappel, le prélèvement forfaitaire (IR) est de 30% de 0 à 4 ans + 15,5% de prélèvements sociaux, puis de 15% de 4 à 8 + 15,5% de prélèvements sociaux et enfin de 7,5% après 8 ans + 15,5% de prélèvements sociaux avec la possibilité de profiter d’abattements qui permettent souvent d’être peu ou pas imposé sur le revenu après 8 ans (mais il reste toujours les 15,5% de prélèvements sociaux soyez rassurés).
    • Subir des frais de rachat prévus dés la souscription par les conditions générales ou particulières de votre contrat.

    Cela veut dire donc qu’en cas de besoin d’argent, à n’importe quel moment de la durée de vie de votre contrat l’impact fiscal ne se fait que sur les plus-values et donc les gains que vous avez engrangés. Si votre contrat vous a offert 3% par exemple, même en subissant 45,5% de fiscalité (entre 0 et 4 ans) vous seriez gagnant en comparaison d’un livret A.

    Quant aux frais, la concurrence sur ce type de produits aujourd’hui vous permet, si vous êtes vigilant, d’éviter un contrat qui vous pénaliserait en cas de sortie anticipée (sauf cas particulier où vous profiteriez d’une contrepartie).

    Ne vous laissez donc plus impressionner par le côté « immobilisant » de l’assurance-vie. La liquidité du contrat est parfaite et totale avec un versement des sommes rachetées sur votre compte courant entre 8 et 15 jours maximum.

  • LOCATION SAISONNIERE MEUBLEE
    Il existe une multitude de micromarchés immobiliers, sectoriels et géographiques. En effet l’on ne peut pas comparer le marché immobilier à Cannes avec celui de la ville de Marseille par exemple. 

     

    • L’appartement que vous allez louer et gérer vous-même en meublé près de chez vous
    • Le Airbnb
    • Les résidences de services

    La location meublée dépend fortement de plusieurs facteurs, comme le prix d’achat, la superficie, le nombre de couchage, le secteur.

    Pour faire simple, vous avez trois grandes sous-familles dans la grande famille de la location meublée. Nous ne privilégions que les deux premières catégories : étudiants et EHPAD, car c’est la demande du marché. Il s’agit en effet là de secteurs résilients, dits « de contrainte » et qui ne sont donc pas impactés par les évolutions conjoncturelles. Or ce n’est malheureusement pas le cas pour les résidences d’affaires, de tourisme ou les résidences senior qui toutes (ou presque) souffrent d’un taux de remplissage trop faible. Certaines vendent des appartements pour reflouer leurs caisses.

    Différence entre un loueur en meublé professionnel et un loueur en meublé non professionnel (LMNP)

    Un loueur en meublé est professionnel lorsque les deux conditions suivantes sont remplies :

    • les recettes annuelles retirées de cette activité par l’ensemble des membres du foyer excèdent 23  000 € sur l’année civile ;
    • ces recettes excèdent les revenus du foyer fiscal soumis à l’impôt sur le revenu dans les catégories des traitements et salaires (y compris les pensions et rentes viagères ainsi que les revenus des gérants et associés mentionnés à l’article 62 du CGI), des bénéfices industriels et commerciaux (autres que ceux tirés de l’activité de location meublée), des bénéfices agricoles et des bénéfices non commerciaux.

    Dans le cas où l’une de ces conditions n’est pas remplie, le loueur est considéré comme un loueur non professionnel.

  • LMNP (Loueur meublé non professionnelle)
    Comment investir en LMNP?
    Investir en LMNP. Pour investir en LMNP, vous devez acquérir un bien meublé et justifier du fait que vous n’êtes pas un professionnel de la location immobilière. En effet, le LMNP se définit par opposition au LMP, Loueur Meublé Professionnel inscrit au registre du commerce et dont l’activité est sa source principale de revenu.
  • PINEL
    – Achat d’un logement neuf ou en l’état futur d’achèvement (VEFA) ;
    – Obligation de louer le bien dans les 12 mois après la livraison, et ce, pour une durée minimale de 6 ans
    – Respect des zones éligibles au dispositif ;
    – Respect des normes de performances énergétiques ;
    – Montant de l’acquisition inférieur à 300 000€ ;
    – Respect des conditions de ressources et des loyers plafonnés pour les locataires en Pinel
    – Quelles sont les conditions afin de pouvoir bénéficier de la réduction d’impôts liée au dispositif Pinel ?

     


    Pourquoi investir en Pinel ?
    Jusqu’à 63 000€ de réduction d’impôts possible selon la durée de mise en location du bien.
    Se constituer un patrimoine immobilier, disposer de revenus complémentaires ou préparer sa retraite : les raisons d’investir dans l’immobilier neuf sont nombreuses. Et surtout, l’investissement locatif est largement facilité par la loi Pinel.


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